Je cherche toujours
la fenêtre qui apaise,
le coin bleu où ranger ma peine,
la forêt qui protège,
sa clairière et son feu de bois,
ce supplément de chaleur
que seul ton corps peut donner,
simplement pour garder
l’équilibre entre deux fatigues
avant le redoux
et la grande coulée de neige.
la fenêtre qui apaise,
le coin bleu où ranger ma peine,
la forêt qui protège,
sa clairière et son feu de bois,
ce supplément de chaleur
que seul ton corps peut donner,
simplement pour garder
l’équilibre entre deux fatigues
avant le redoux
et la grande coulée de neige.
- 29.9.18