Viens je t’emmène
10.7.23On regarde juillet fendre nos fenêtres
Sourire large du malaise des gens
Ici on trébuche sur les dards du soleil
Le trottoir est notre pierre philosophale
Chaude et brune, lisse et d’espérance
Dans la rue des têtes basses sort un
Viens je t’emmène sucer des glaçons
Je trébuche là-dessus avec fraicheur